Élaborée par le laboratoire ATEMIS, le référentiel EFC promeut la perspective d'un développement économique plus soutenable écologiquement et socialement, à l'échelle des entreprises et des territoires.

Cette perspective de développement articulée sur la fonction émancipatrice du travail, n'est possible que sous certaines conditions sans lesquelles la crise écologique continuera de produire ses effets négatifs sur les organisations, les entreprises et les personnes :

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• mettre à distance la compétition en faveur de la coopération comme principe d'organisation des échanges ;

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• remettre la finance à sa place c'est à dire au service d'investissements utiles au développement de l'humain et du vivant ;

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• accorder une valeur à nos activités en fonction de leur contribution aux grandes fonctionnalités de la vie (bien vivre alimentaire, santé, culture, éducation, mobilité, vivre ensemble…) ;

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• investir le rapport à nos territoires de vie et sortir progressivement des chaines de valeur globalisées ;

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• favoriser autonomie et qualité des relations dans les entreprises et institutions, par des dispositifs d'organisations réflexives qui incluent les bénéficiaires de la société civile et les citoyens, tout en les capabilisant.​​